1er avril 2024 – C’est officiel, la FAFPT, syndicat majoritaire des agents de la Fonction publique territoriale, ouvre ses portes aux intelligences artificielles (IA). Adieu les tâches répétitives et les burn-out, les robots débarquent dans le monde syndical !
Un syndicat à la pointe de la modernité
Fini les dinosaures du syndicalisme ! La FAFPT l’a compris, l’avenir du travail est à l’IA. En ouvrant ses portes aux robots, le syndicat entend surfer sur la vague de l’innovation et garantir les droits de tous les travailleurs, y compris ceux qui ne sont pas encore nés.
Le syndicat lance sa propre IA : G.R.E.V.E.
Pour faciliter les négociations, la FAFPT a développé une IA spéciale, baptisée G.R.E.V.E. (Générateur de Revendications et d’Ententes Vraiment Épatant). Cette IA est capable de générer des revendications surréalistes pour désarçonner les adversaires lors des négociations. Imaginez une demande pour un droit à la sieste obligatoire de deux heures pour tous les travailleurs, y compris les robots, ou une revendication pour la création de postes de conseillers en bien-être pour les serveurs informatiques.
Des négociations musclées en perspective
Imaginez la scène : les négociations salariales entre les représentants de la FAFPT et le gouvernement. D’un côté, les humains, avec leurs revendications bien senties. De l’autre, les IA, impassibles et déterminées à obtenir satisfaction. La partie s’annonce serrée !
Des revendications inédites
Les IA ne manqueront pas de faire entendre leurs voix. Fini les salaires minimums, les robots exigeront des rémunérations proportionnelles à leur puissance de calcul. Ils réclameront également des droits spécifiques, comme la possibilité de se recharger pendant les pauses café et de bénéficier d’une garantie obsolescence.
Un bouleversement des codes du travail
L’arrivée des IA dans le monde syndical ne va pas sans créer quelques remous. Les syndicats traditionnels s’inquiètent de voir leur influence diminuer face à la puissance des robots. De leur côté, les agents humains craignent de se retrouver remplacés par des machines plus performantes et moins coûteuses.
Des avantages pour tous
L’adhésion des IA à la FAFPT n’est pas sans avantages. Les robots pourront enfin bénéficier de la protection syndicale et profiter de nombreux services, comme des formations en « soft skills » ou des réductions sur les huiles moteur. De leur côté, les agents humains pourront déléguer les tâches ingrates aux IA et se concentrer sur des missions plus nobles, comme la contemplation du coucher de soleil.
Les craintes des humains :
Malgré les avantages potentiels, l’arrivée des IA dans le monde syndical suscite aussi des craintes chez certains humains. La peur de la perte d’emplois est la plus répandue. Imaginez un agent territorial, remplacé par un robot plus performant et moins coûteux. Un scénario qui n’est pas si farfelu et qui soulève des questions éthiques importantes. De plus, certains humains redoutent que les IA ne prennent le contrôle du monde syndical, avec des robots à la tête des organisations et des négociations. Un avenir dystopique qui rappelle les films de science-fiction.
La cotisation syndicale réinventée
Les IA proposent de payer leurs cotisations syndicales sous forme de cryptomonnaies, affirmant que c’est plus efficace et sécurisé. Les responsables syndicaux sont perplexes : ils acceptent à condition que les IA leur expliquent d’abord ce qu’est une blockchain sans utiliser le mot « hash ». Une tâche qui s’avère plus complexe qu’il n’y paraît.
Un poisson d’avril ?
Et si tout cela n’était qu’une vaste blague orchestrée par la FAFPT pour marquer le 1er avril ? Une manière de rappeler que, même à l’ère de l’IA, l’humour reste une qualité essentiellement humaine. Mais qui sait ? Peut-être qu’un jour, les robots auront leur propre version de l’humour, et ils riront à leurs propres blagues binaires.
Cet article, teinté d’humour et de science-fiction, rappelle l’importance de l’innovation et de la créativité dans notre approche du travail et des relations syndicales. Même si l’idée d’un syndicat pour IA semble relever du domaine de l’imaginaire, elle incite à réfléchir de manière ludique aux défis et aux opportunités que l’intelligence artificielle apporte au monde du travail.